单项选择题

4. Qui sont les 600000 Chinois de France

Il y a tout juste 50 ans, le 27 janvier 1964, Mao et le général de Gaulle décidaient en pleine guerre froide d’établir des relations diplomatiques entre la Chine et la France. Paris et Pékin commémorent cet anniversaire. De nombreux évènements sont prévus ces prochaines semaines dont un «Paris-Pékin» à vélo, ou encore ce lundi soir au Grand Palais à Paris, grande soirée «Nuit de Chine».

Ils sont 600 000 Chinois de France. Certains ont un passeport français, et sont d’origine chinoise, les autres ont un passeport chinois. La double nationalité franco-chinoise n’existe pas.

Ils viennent de deux régions du sud de la Chine, différentes selon qu’ils sont de la première ou de la deuxième vague d’immigration, avec chacune sa langue. «La moitié Chinois France sont des gens qui venaient au départ du Viêt-nam, du Laos ou du Cambodge. Ils vivaient dans la région de Canton avant d’arriver en France dans les armées 70. Ce sont les «boat people». Les autres 300 000 sont arrivées entre 1980 et 2008 car depuis l’immigration a sérieusement ralenti. Et eux viennent de quelques villages montagneux autour de la ville de Whenzou, au sud de Shanghai», détaille Richard Behara, chercheur spécialiste de la diaspora chinoise en France.

Il existe enfin l’immigration chinoise dont on parle le plus ces dernières années, originaire cette fois du nord, de la région de Dongbei à la limite de la Corée du nord. Pour l’essentiel ce sont des femmes de cette région qui arrivent en France, via des réseaux clandestins, appelés les «têtes de serpents». Ces femmes se retrouvent seules dans le quartier Belleville à Paris. Mais ce ne sont que quelques centaines, peut-être quelques milliers de personnes. Une immigration marginale même si c’est celle dont on parle le plus.

Dans ce texte, on divise l’immigration chinoise en ________ périodes ou vagues

A.deux
B.trois
C.quatre
D.cinq